mercredi 20 décembre 2006
mardi 19 décembre 2006
vendredi 15 décembre 2006
Expo au musée de la pub consacrée à la photographie publicitaire en France
© Jeanloup Sieff
© André Martin
© Dimitri Danoliff
Avec cette exposition consacrée à la photographie publicitaire en France, de sa naissance dans les années 1930 jusqu’à nos jours, le musée de la Publicité veut rendre ses lettres de noblesse à un secteur de l’histoire de la photographie méconnu et donner une légitimité à ces photographes trop souvent considérés comme de simples exécutants de commandes. Ce constat est encore vrai aujourd’hui quand on voit qu’ils sont les oubliés des ouvrages et des lieux d’expositions consacrés à la photographie.
Source
IFOP : Observatoire 2006-2007 de la netcampagne présidentielle
Dans ce contexte, et pour mieux évaluer l’impact d’Internet sur le rapport des Français à la politique à l’aune de la campagne présidentielle, l’Ifop en partenariat avec le Panel Maximiles a réalisé, dans le cadre de son « Observatoire 2006-2007 de la netcampagne présidentielle » une première enquête sur les pratiques politiques des internautes français.
Voir la présentation PDF
Draft FCB remporte le Grand Cristal du marketing relationnel et promotionnel
A l'issue de ses délibérations, le jury du Cristal du marketing promotionnel et relationnel a décerné son Grand prix à Draft FCB pour la campagne INPES Toxic Corp. Par outils de com, le jury a récompensé, en Mailing, Rapp Collins Paris pour la stratégie d'acquisition en marketing direct pour le livret épargne orange (annonceur : ING Direct). En Street Marketing, c'est
Saatchi & Saatchi qui rafle la mise pour Toyota Prius-gazon (annonceur : Toyota). Le Online consacre une nouvelle fois DraftFCB pour INPES Toxic Corp (annonceur : INPES), tandis que la promotion récompense Publicis Dialog pour SFR Hold up (annonceur : SFR). Dialog s'est également distinguée en Publicité Response pour Crétin.fr (annonceur : Free). Enfin, le Réseau revient à Tequila pour Mini up (annonceur : Mini Financial Services). Le jury était coprésidé par Catherine Michaud, présidente de K Agency 360 et Jeabn-Paul Baradel, dg Danone CRM Unit.
Source : CB News
jeudi 14 décembre 2006
mercredi 13 décembre 2006
Canal + lance canalsapin.com réalisé par BETC Euro RSCG
Canal + a lancé un site internet événementiel dédié à Noël.
Animé par Omer et Fred ce site est destiné à souligner les promotions de fin d'année de Canal + le bouquet...
Le site
The Favourite Website Awards People's Choice Award 2006 is on!
http://www.thefwa.com/FWAvote2006/
Fermeture des votes le 14 Janvier 2007 à 12.00 p.m. GMT.
Il y a 12 websites en shortlist, ce sont les sites du mois de The FWA.
Les résultats seront annoncés sur le site FWA le 15 Janvier 2007.
Le Festival de Méribel ouvre ses portes / 12-17 décembre 2006
http://www.festivaldufilmpub.com/
Le Festival de Méribel ouvre ses portes.
La 6e édition du festival de la publicité de Méribel vient de débuter sous la présidence de Kevin Roberts, CEO Worldwide de Saatchi & Saatchi.Quelque 1600 campagnes en compétition pour les différents Cristal ((Cyber, Marketing relationnel et promotionnel, Media, Film, Affichage et Presse magazine, Production, Humour) vont être jugées jusqu'au 16 décembre. Avec ce soir une première remise de prix : celle du Cyber Cristal.
mardi 12 décembre 2006
TBWA vs Saatchi & Saatchi à New York par le marketing viral !
Source : Marketing Alternatif
Havas sur les plates-bandes de Publicis
Si l'on devait recourir à une métaphore enfantine, l'affrontement inattendu qui oppose, depuis début 2006, Maurice Lévy, patron de Publicis, et Vincent Bolloré, aux manettes d'Havas, pourrait évoquer le célèbre conte de Grimm « Blanche-Neige ». Depuis 2000, en effet, date du rachat du réseau Saatchi & Saatchi par Publicis, le patron du quatrième groupe mondial de publicité pouvait, sans émoi particulier, interroger le miroir du microcosme. Lequel lui répondait sans hésiter : « Sur le seul territoire français, vous n'avez aucun concurrent en mesure de vous bousculer, encore moins de vous inquiéter. »
Il n'empêche : Vincent Bolloré vient de franchir une marche supplémentaire. La semaine dernière déjà, son agence MPG s'est emparée de la place de numéro un sur le marché français de l'achat et du conseil médias, ravissant la place de leader à Carat (Aegis), dont Vincent Bolloré est aussi l'actionnaire de référence. Enfin, coup sur coup et à marche accélérée, son agence corporate Euro RSCG C&O a décroché ces derniers mois les budgets EDF (un compte de 60 millions d'euros générant une marge nette d'environ 200.000 euros pour l'agence), RATP (20 millions d'euros de budget et une marge de 150.000 euros) et la communication BtoB d'Orange (un budget compris entre 15 et 20 millions d'euros et 150.000 euros de marge également), sans parler d'une partie des budgets Sanofi-Aventis, Alcatel-Lucent et de l'achat d'espace de Peugeot, regagné.
La réaction de la Bourse n'en a pas moins été jugée exagérée : Publicis étant une société française cotée à Paris, chaque nouvelle - a fortiori mauvaise - provenant de son marché originel est « surinterprétée » par les investisseurs, alors même que le groupe ne réalise plus que 10 % de son chiffre d'affaires en France. Idem pour Havas, mais en sens inverse : chaque bonne nouvelle en provenance de son territoire d'origine a été très bien saluée par la Bourse, alors que les montants en marge brute des contrats gagnés ne pèsent pas beaucoup au niveau de l'ensemble du groupe.
GRÉGOIRE POUSSIELGUE ET VÉRONIQUE RICHEBOIS
Marketing viral pour Nike
vendredi 8 décembre 2006
L'agence WDDG (com interactive) à New York
La DA style année 50 US est très réussi, le contenu est exclusivement en vidéo avec une système de slide, vraiment très ludique et créatif. A prendre en note.
Le site de l'agence : http://www.wddg.com/
jeudi 7 décembre 2006
Lancement de la chaine d'information "France 24" par Alain de Pouzilhac
La chaîne française d'information internationale en continu sur les rails.
FRANCE 24 a réussi son lancement, hier soir, à la seconde pile du compte à rebours, par un simple basculement de manette en régie de son président, Alain de Pouzilhac, depuis les studios d'Issy-les-Moulineaux, dans la banlieue de Paris. Un geste pas franchement innovant, mais une image symbolique en guise de cadeau de naissance : une courte interview de Jacques Chirac, venu visiter les locaux quelques heures plus tôt sous la menace de plusieurs centaines d'intermittents du spectacle. Le président de la République, accompagné par celui de France Télévisions, Patrick de Carolis, et par celui de TF1, Patrick Le Lay, a jugé « indispensable qu'un grand pays comme la France puisse avoir son regard sur le monde et diffuser ce regard ». Interrogé sur l'impartialité de la chaîne, le président de la République a assuré que, « s'il y avait le moindre souci, ce serait la certitude de l'échec » car « elle ne serait pas crédible ».
Le site
MPG devient la première agence médias française pour la première fois de son histoire
Le site de l'agence
mercredi 6 décembre 2006
Cent trente campagnes françaises short-listées aux Eurobest
Les assiettes contre la faim ! Vente aux enchères : 3ème édition
Le site
La publicité en ligne représentera 10% du marché mondial dans trois ans
Par ailleurs, les investissements publicitaires sur le Web devraient progresser de 28,2% en 2007, alors que les autres supports publicitaires ne devraient augmenter que de 3,9%.
La part de marché de la publicité dans les journaux et les magazines devrait inégalement décliner entre 2006 et 2009 : 27,3% de parts de marché en 2009 pour les journaux contre 29,1% en 2006 et 12,5% de parts de marché pour les magazines en 2009 contre 12,9% en 2006. Avantage aux magazines, donc.
La part de marché de la publicité sur la radio atteindrait 8% en 2009 contre 8,4% en 2006. En revanche, le cinéma et l'affichage devraient voir leurs parts de marché augmenter entre 2006 et 2009 (de 0,4 à 0,5% et de 5,4 à 5,9%).
(Atelier groupe BNP Paribas – 05/12/2006)
mardi 5 décembre 2006
Gillette propose aux internautes de présenter son nouveau spot publicitaire
Pour le lancement de Gillette Fusion, sa solution complète de rasage, Gillette s'est associé à TF1 Publicité pour proposer aux visiteurs de Wat.tv, le site communautaire de TF1, de réaliser une vidéo de présentation de son nouveau spot publicitaire qui sera diffusé le 1er janvier sur TF1. Les candidats, qui peuvent visionner le spot depuis le 20 novembre sur un espace dédié du site, doivent réaliser une vidéo d'une durée maximale de 20". Ils ont jusqu'au 14 décembre pour soumettre leur oeuvre. Le lendemain, un jury constitué de représentants de l'annonceur, de TF1 et de l'agence CLM BBDO qui a réalisé le spot, choisira la vidéo gagnante.
Eurostar lance son London Coming 2
Après une première édition le 20 septembre dernier, Eurostar organise une nouvelle fois son London Coming, sous le signe du shopping. La mise en place opérationnelle de l'événement est signée Magic Garden. Les 9 et 10 décembre, l'atelier Richelieu à Paris réunira 25 boutiques éphémères de créateurs anglais, dans une ambiance très londonienne. Outre ces journées ouvertes au public, Eurostar orchestre la journée de lancement le 8, avec en point d'orgue un concert privé de The Shoppings, The Servant et DJ Set. Des places sont à gagner sur le site eurostar.londoncoming.fr
lundi 4 décembre 2006
Faut-il définir le Web 2.0? Rencontre avec Tim O'Reilly, "révélateur" du Web 2.0
Les lecteurs de l’Atelier retrouveront d’ici sa parution, en avril 2007, des articles de fond, des questions, des propositions sur le site de L’Atelier. Ils retrouveront sur le blog Transnets, des billets et la possibilité de commenter et d’apporter leur contribution à la réflexion en cours.
Le Web 2.0 tire son essence des effets de réseau et de "l’intelligence collective", dont il nous faudra débattre. Il fallait donc placer ces phénomènes au cœur de la rédaction. Grâce au blog, c’est possible…
Le livre paraîtra en avril, au Village Mondial. A suivre...
Ecrire sur le Web 2.0 sans parler de Tim O’Reilly, le « révélateur » du phénomène, tient de la gageure. Il a accepté de rencontrer l’Atelier et Transnets dans ses bureaux de Sébastopol, au cœur de la Napa Valley (la région viticole au nord de San Francisco), pour nous aider à la préparation de notre livre.
Tim O’Reilly est le fondateur et dirigeant d’une célèbre maison d’édition technique et organisateur de conférences : le groupe O’Reilly. Il est aussi celui par qui est arrivé l’expression "Web 2.0". Si, pour être parfaitement juste, c’est un de ses collaborateurs qui a forgé l’expression, Tim O’Reilly qui l’a popularisée en organisant la première conférence Web 2.0, à San Francisco, en octobre 2004, et en posant les premières bases du concept, dans un texte fondateur qu’on peut retrouver sur son blog.
Parmi les moments forts de l’entretien, que nous reprendrons dans le livre à paraître, nous avons demandé à Tim O’Reilly de préciser sa définition du Web 2.0.
Le Web 2.0 est un fait, une nouvelle ère. Il n’a donc pas de définition...
"Les définitions sont des constructions de langage pour expliquer des choses. Or, le web 2.0 n’est pas vraiment une chose. C’est plutôt la description d’un "tipping point (1)", de ce moment où un phénomène un peu unique et isolé devient commun et se généralise. Une sorte de point de rupture et de passage à une nouvelle ère, avec de nouveaux acteurs et de nouvelles règles.
Pour bien le comprendre, on peut faire une analogie avec le développement de l’ordinateur personnel dans les années 80. Les ordinateurs sont progressivement devenus de plus en plus personnels, et à un certain moment (difficile à dater avec précision), le centre de gravité est passé du mainframe à l’ordinateur personnel. Tout à coup, des acteurs comme IBM, au centre du développement des ordinateurs dont ils étaient les constructeurs, perdent la main au profit de nouveaux acteurs comme Microsoft, qui proposent les outils d’exploitation de cet objet personnel. D’une certaine façon, nous sommes alors passés de l’aire du PC 1.0, avec IBM comme acteur principal, à l’heure du PC 2.0, beaucoup plus personnel, avec Microsoft comme leader. Il ne s’agit pas d’une définition, mais d’un fait !
Le Web 2.0 est très similaire. Il y a aujourd’hui un « tipping point » dans le développement du Web. Internet a 25 ans, le Web déjà 15 ans. Au début, ils n’étaient qu’un « plus » parmi les applications et les services utilisés sur les PC. Ils sont aujourd’hui passés au centre. L’introduction en Bourse de Google en août 2004 a certainement été emblématique de ce tournant, mais en fait il faut analyser ce passage comme l’arrivée d’Internet au cœur des PC. Le pouvoir s'est de nouveau déplacé.
Les effets de réseau ("network effect") au cœur de la nouvelle ère
Pourquoi ce déplacement du pouvoir ? En fait, avec le développement d’Internet, les logiciels ont perdu leur pouvoir et leur rôle structurant. Ils sont devenus des commodités, et c’est le Web qui est en train de devenir la plate-forme principale, plus le PC. Ce qui compte aujourd’hui, ce sont les données, plus les logiciels.
Les internautes sont actifs sur Internet, ils créent des données, en partagent, en fournissent. Et ces données « parlent » entre elles. Il se crée une intelligence collective. La façon dont Google gère la pertinence des résultats des recherches sur Internet en est une bonne illustration : c’est le système du Page Rank, basé sur la façon dont les utilisateurs valorisent la pertinence des données. Ce n’est pas Google qui détermine cette pertinence, mais l’intelligence collective des utilisateurs qui analysent des milliards de données et, par leur intérêt pour le résultat et sa pertinence dans leur requête, déterminent la valeur du résultat. La valeur, qui était dans le logiciel, passe donc dans les données, associées aux effets de réseaux.
Les effets de réseaux, permis par Internet et le partage qu’il autorise, appliqués aux données créent la nouvelle valeur. C’est le cœur du Web 2.0.
La bonne compréhension de ce phénomène différentie les entreprises du Web 1.0 de celles du Web 2.0. Le succès fulgurant d’entreprises comme MySpace ou YouTube, qui repose sur cette très bonne compréhension des effets de réseaux, en est l’illustration.
Nous ne sommes qu’au début de cette nouvelle ère. De nombreux nouveaux acteurs et de nouveaux services vont apparaître. Même si on a déjà une idée de ceux qui vont être les grands gagnants et les grands perdants. Google, s’il ne fait pas d’erreur majeure, sera certainement un de ces grands gagnants."
Propos recueillis par Dominique Piotet, à San Francisco pour l’Atelier, avec Francis Pisani, pour Transnets.net
(Atelier groupe BNP Paribas - 01/12/2006)
(1) Le concept de Tipping Point, formalisé par des sociologues dans les années 60, a été repris et étendu par Malcolm Gladwell, dans son livre Tipping Point, qui connait un grand succès aux Etats-Unis